Dix ans après le printemps érable, les étudiants manifestent de nouveau pour réclamer la gratuité scolaire, la salarisation des stages et la transition écologique.
Le SCCCUM soutient une fois de plus les revendications étudiantes. C’est pourquoi il sert de relai aux étudiants.
« La gratuité scolaire, c’est considérer l’éducation non pas comme un bien de consommation, mais comme un bien public, un droit auquel tout le monde devrait avoir accès. » Lucia Flores Echaiz, exécutante à l’Association facultaire étudiante de science politique et droit de l’UQAM
« La gratuité scolaire est un enjeu d’accès à l’éducation. » Olivier Brien, responsable sociopolitique de l’Association générale étudiante du cégep de la Gaspésie et des Îles
Je veux mon printemps | La Presse
« L’augmentation constante des frais de scolarité ne fait que contribuer à la marchandisation des savoirs, au détriment des champs d’études qui ont moins de valeur marchande. » Anne Desruisseaux, étudiante en deuxième année au baccalauréat en sciences politiques et en philosophie
« Il me semble qu’avec la crise du logement, l’inflation historique et la crise de santé mentale que nous traversons, mes collègues et moi en avons beaucoup sur les épaules […]. », Félix Tremblay, étudiant de deuxième année à la maitrise en philosophie.
10 ans plus tard… la lutte pour la gratuité scolaire continue – Quartier Libre
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